Le Musée Bonnat-Helleu de Bayonne, c’est un vrai roman - Dominique de Saint Pern

Publié par Gilles Kraemer sur 22 Mai 2025, 16:18pm

Catégories : #Entretien à 210 km-h, #Musées, #Mécénat

Gilles Kraemer

Dominique de Saint Pern et Laurence de Vellou, Le Musée Bonnat-Helleu. Un vrai roman © photo Le Curieux des arts Gilles Kraemer, Biarritz, la Grande plage, 30 avril 2025.

Le musée Bonnat-Helleu, c’est un beau roman, c’est une belle histoire que Dominique de Saint Pern consacre à cette institution bayonnaise. Fermée en catastrophe le 11 avril 2011. La toiture fuyait. (1 ) La rénovation et l’extension de ce musée allaient pouvoir être envisagés, programmés, réalisés, idée émise 14 ans plus tôt, en 1997 par Jean Grenet maire de Bayonne dans sa préface au catalogue de l'exposition La donation Jacques Petithory au musée Bonnat, Bayonne, au musée du Luxembourg à Paris (décembre 1997-mars 1998). Le musée s’appelait alors Bonnat, du nom de son fondateur, Léon Bonnat, prenant le nom de Bonnat-Helleu suite à une seconde donation d’œuvres de Paul-César Helleu par sa fille Paulette Howard-Johnston (1904-2009).

Une première donation fut faite à Bayonne en 1989 lorsque Vincent Ducourau était son directeur et conservateur en chef. Également pelotari, chanteur, Vincent, défenseur de l’art contemporain dans cette institution bayonnaise. L’homme de Bessines de Fabrice Hyber, iconique petit bonhomme vert, enchantait l’atrium, au cœur du musée, sous les regards accueillants de Puvis de Chavanne et d’Henri Zo.

Pendant les travaux d’agrandissement et de rénovation du musée Bonnat-Helleu, dans le patio. Léon Bonnat, Femme fellah et son enfant, non daté (1869-1870). Huile sur toile. 241 x 140,5 cm. Musée Bonnat-Helleu. Notice n° D. b4C du catalogue raisonné de l’œuvre peint de Bonnat par Guy Saigne, tome 2 © photographie Dominique de Saint Pern, musée Bonnat-Helleu, Bayonne, 20 avril 2023. Remerciements à Dominique de Saint Pern

Dans quelques semaines, la réouverture tant attendue des collectionneurs, des amateurs de dessins, des conservateurs et directeurs de musées, ne cessant d’interroger : à quand ? En novembre 2025. Le chantier avait été lancé en juin 2021 avec, dans un premier temps par son extension en lieu et place de l’ancienne école communale, transfert des œuvres en décembre 2023, fin de la restructuration de bâtiment existant édifié par Charles Planckaert. 14 années de rebondissements se seront écoulées depuis la fermeture en 2011.

Présidente-Directrice du musée du Louvre, Laurence des Cars a su faire avancer à pas de géants cette réouverture depuis une convention de partenariat, établie pour 5 ans, signée à Bayonne le 3 novembre 2023. Le transfert de la collection Jacques Petithory, offerte au musée, dispersée entre Orsay et Le Louvre était enfin acté en … janvier 2025. 33 ans se seront écoulés depuis le décès de Petithory en 1992.

https://presse.louvre.fr/vers-la-reouverture-du-musee-bonnat-helleu/

« Taper sur la table » a réveillé du côté de L’Adour et de La Nive où les fêtes de Bayonne et la foire au jambon étaient les événements toujours mis en avant ! Manifestement, le regard change à l'égard de Bonnat-Helleu depuis l'arrivée en février 2025 du nouveau directeur Barthélemy Etchegoyen Glama qui fut conseiller en charge des discours et de la prospective de Laurence des Cars. De surcroit originaire du Pays Basque ce qui aurait certainement plu à Bonnat.

Façade, « work in progress » © photo Le Curieux des arts Gilles Kraemer, musée Bonnat-Helleu, Bayonne, 28 avril 2025.

Le musée d’une surface initiale d’exposition de 2 000 m² a doublé pour atteindre 4 000 m², disposant ainsi d’une surface totale de 7 000m² répondant aux impératifs d’un musée du XXIe siècle et de pouvoir conserver les riches collections in situ dans les réserves adaptées. Dommage que le projet de réserves mutualisées des trois musées bayonnais (Bonnat-Helleu, Basque et de l’histoire de Bayonne, d'Histoire naturelle), dont l'étude n'a pas été concrétisée bien qu'avancée financièrement. Autant de m² du parcours permanent et d’exposition sacrifiés...

Dominique de Saint Pern et Laurence de Vellou, séance de signatures chez Bookstore, Biarritz, décembre 2024 © remerciements à Dominique de Saint Pern.

Calmez votre impatience du grand jour, plongez dans Le Musée Bonnat-Helleu. Un vrai roman, l’histoire captivante de cette institution. Titre tellement vrai, le plaisir de la lecture, sous l’encre précise de Dominique de Saint Pern habitant maintenant au Pays Basque, après avoir été plume à L’Express, à L’Événement du jeudi, à Elle puis à Marie-Claire. Elle a publié les biographies de femmes d’exception : Karen Blixen, Dorothy Parker, Edmonde Charles-Roux – Edmonde puis L’envolée – celle du couple Caresse et Harry Crosby. Rythme, style, rigueur, goût de la transmission se ressentant indubitablement dans ce livre qui se lit d’une traite et qui ne fait qu'agrandir l'impatience de la réouverture.

Façade, « work in progress », l'ancienne école communale de garçons © photo Le Curieux des arts Gilles Kraemer, musée Bonnat-Helleu, Bayonne, 28 avril 2025.

Rencontre avec Dominique, au Café du Palais, lieu encore un peu biarrot. Depuis longtemps, Biarritz n’est plus la plage des rois et la reine des plages. Exit l’exposition estivale au Bellevue. Culture réduite au Malandain Ballet Biarritz – qu’en sera-t-il, en décembre 2016, lors du départ du chorégraphe Thierry Malandain, membre de l'Académie des beaux-arts ? - et aux 15 jours du Biarritz Piano Festival en été.

Pendant les travaux d’agrandissement et de rénovation du musée Bonnat-Helleu. Henri-Achille Zo, Léon Bonnat et ses élèves basques et béarnais, dit Triptyque bayonnais, 1914. Panneaux latéraux 500 x 370 cm., panneau central 500 x 310 cm. Ici le panneau central représentant Léon Bonnat, assis, entouré par ses élèves © photographie Dominique de Saint Pern, musée Bonnat-Helleu, Bayonne, 12 décembre 2023. Remerciements à Dominique de Saint Pern.

Cette écrivaine s’étonne malicieusement d’avoir écrit sur un musée que je n’ai jamais connu ouvert et dont j’ai essayé de raconter ce qu’il pourrait être, l’imaginant une fois rouvert insiste-t-elle. Mais elle l’a parcouru pendant les travaux, présente lorsque la dernière toile fut décrochée : le Triptyque bayonnais; Bonnat et ses élèves basques et béarnais d’Henri Zo (1912-1914). Toute une symbolique dans cette peinture que Vincent Ducourau sortira de l’oubli en 2001 et qu'il accrochera, enfin, 87 ans après ! Manifestement, l’escargot devait être l’emblème de cette institution…

Dans le patio, « work in progress ». Les ferronneries ont perdu leur vert au profit d’un gris, couleur d’origine. La mosaïque du sol, caché sous un parquet, est en restauration © photo Le Curieux des arts Gilles Kraemer, musée Bonnat-Helleu, Bayonne, 28 avril 2025.

La rénovation du vieux musée Bonnat, édifié par Charles Planckaert, pouvait commencer, l’extension du musée par l’appropriation de l’ancienne école communale de garçons étant terminée et accueillant provisoirement dans ses réserves les œuvres.

La partie rénovée du musée © Brochet - Lajus - Pueyo. Dans cette galerie surplombant l'atrium, selon l'image projetée par le cabinet d'architectes, devraient être présentées les terres cuites du XVIIIe siècle de la collection Paul Cailleux.

Léon Bonnat, Comtesse Potocka, née princesse Emmanuela Maria Carolina Pitagnelli di Cerchiara (1852 – 1931). Huile sur toile. 1880. Legs du comte Félix Nicolas Potocki à son décès en 1921 au musée Bonnat. Notice n° 397 dans le catalogue raisonné de l’œuvre peint de Bonnat par Guy Saigne, tome 1 // à droite, Portrait présumé d’Henriette Halpen, née Henriette Stern. Huile sur toile. 1879. Notice n° 463 dans le catalogue raisonné de l’œuvre peint de Bonnat par Guy Saigne, tome 1 © photo Le Curieux des arts Gilles Kraemer, Bayonne, juillet 2023, musée Basque et de l’histoire de Bayonne, rétrospective du centenaire, commissariat Sabine Cazenave.

Ce musée, Bonnat l’avait voulu pour y déposer ses collections qu’il avait offertes à sa ville natale. Première pierre posée le 5 décembre 1896, définitivement aménagé après la mort du peintre (8 septembre 1922). Membre de l’Institut, fauteuil VIII pendant 41 ans. Devant lui le Whos’ Who de la III^ème République posa. (2) Adolphe Thiers, deux mains et une tête présidentielles sorties du noir; il en fera une copie. Pose du génie méditatif de Victor Hugo connu du monde entier. La Comtesse Potocka dans une gamme de blancs, noirs et bruns, partie quelques semaines à New-York, au Metropolitan museum, ce printemps 2025, pour l’exposition Sargent and Paris. Thomas Alexandre Dumas par Louis Gauffier l’accompagnait pour une autre exposition au MET. (3) Manifestement, les prestigieuses institutions muséales mondiales, de New-York en 2025 à Tokyo en 2015, d'Urbino à l'été 2024 à Orsay en 2019 ou Montpellier en 2022 ont « les yeux de Chimène » pour les œuvres de cette institution boudée des bayonnais ; peu de personnes à chacune de mes nombreuses visites avant 2011 ! Et, le merveilleux et mondialement connu, le Cabinet des dessins pour soi tout seul et le plaisir de ces 40 Watteau.

Inauguré le 29 juillet 1923 en présence de Léon Bérard, ministre de l'Instruction Publique et des Beaux-Arts selon la plaque apposée sur le mur gauche dans le hall de l’ancienne entrée. 102 ans après, seconde inauguration de ce musée merveilleusement rénové et agrandi par le cabinet Brochet-Lajus-Pueyo. Quels noms seront gravés dans le marbre de la nouvelle plaque ?

Léon-Daniel Saubès, élève de Léon Bonnat, sous sa supervision et avec sa participation, Le Cardinal Lavigerie (1825 – 1892), 1888. Musée Bonnat-Helleu. Notice n°320 du catalogue raisonné de l’œuvre peint de Bonnat par Guy Saigne, tome 1 © photo Le Curieux des arts Gilles Kraemer, réserves du musée Bonnat-Helleu, Bayonne, 28 avril 2025.

Pour cette écrivaine, c’est ma curiosité personnelle qui m’a poussée à partir à la découverte de quatre hommes qui ont façonné l’histoire de ce musée irrigué par la vie. Un vrai roman qui a bâti cette institution où elle a trouvé une obsession, une fièvre du collectionneur chez ces personnes qui ont aimé ce lieu. J’aime les aventures et, ce musée s’est construit des passions et des amitiés de ces incroyables collectionneurs.

Le premier, le bayonnais Léon Bonnat, une histoire humaine. Le musée est le résultat de l’amour de cet homme pour l’art et du soutien de sa ville qui l’a aidé financièrement dans sa jeunesse. En remerciement, il lui offre sa collection. Se justifiant non comme le regard d’une sachante mais de celle qui aime l’art, Dominique de Saint Pern joue d’incises pour nous présenter un autre Bonnat, celui qui part pour un périple au Moyen-Orient avec 6 autres peintres, 500 bouteilles de Bordeaux et 30 de Champagne. Le second, Antonin Personnaz, son ami, son cadet de 21 ans, pratiquant averti de l’autochrome, collectionneur d’impressionnistes dont Armand Guillaumin, des peintres auxquels Bonnat ne s’intéresse pas. Comme Bonnat, il légua à l'époque sa collection au Louvre, avec obligation de conservation de certaines œuvres à Bayonne.

Un marchand, un ŒIL, Jacques Petithory dont la romancière évoque la fièvre du collectionneur prêt à enchérir pour quelques centimètres carrés de papier caressés avec de bons crayons. Quelle plus admirable définition synthétisée de « la belle feuille ». Aucun Bonnat dans la collection Petithory, que l’on prononce Petit Hory dans le Sud-Ouest, sa mère étant landaise. Quatrième collectionneur Paul-César Helleu – exposition du centenaire attendue avec impatience en 2027 - contemporain de Bonnat mais ne fréquentant pas le même cercle parisien, Paul-César étant en liens amicaux avec Sargent, Boldini, Sem, le comte Robert de Montesquiou donc naturellement la comtesse Henry Greffuhle et Marcel Proust. C’est sa fille Paulette Howard-Johnston qui léguera au musée les œuvres de son père - pointes sèches, dessins, peintures, céramiques -. Pourquoi ? Selon ce qu’elle me racontait lorsque je la rencontrais dans sa villa d’Anglet (1, allée Cou), ce sont les cuivres bien astiqués du musée, dans le sous-entendu d’un musée bien tenu, qui l’incitèrent à offrir sa collection à la ville.

L’impatience de l’ouverture se ressent, le musée vit, bourdonne pendant les travaux. Tout doit être en ordre de bataille pour le grand jour, la renaissance tant espérée de cette Belle au bois non dormant pendant sa fermeture. Dominique de Saint Pern a su faire passer la parole des directeurs de ce musée – Vincent Ducourau, Sophie Harent, Sabine Cazenave directrice du projet de réouverture -, celle des conservatrices et du personnel qui par modestie n’ont pas souhaité être cités – même s’ils sont « croqués » par Laurence de Vellou en deuxième et en troisième de couverture, montrer leurs émotions en voyant des œuvres sorties des réserves. Toute la passion, la force de l’art, le choc qu’ils ont face à une œuvre. C’est cela La vie étrange des objets si l’on songe à un commissaire-priseur qui occupa le fauteuil 32.

Léon Bonnat, Vue de la presqu’île du Sinaï, 1868. Huile sur toile marouflé sur bois. 16,5 x 25 cm.. N° D. A6 du catalogue raisonné de l’œuvre peint de Bonnat par Guy Saigne, tome 2 © photo Le Curieux des arts Gilles Kraemer, Bayonne, juillet 2023, musée Basque et de l’histoire de Bayonne, Bayonne, rétrospective du centenaire, commissariat Sabine Cazenave. Don au musée de Solange Thierry - de Saint Rapt, en 2017. Très généreuse mécène du musée, et d'autres nombreuses institutions françaises, par de très nombreux et importants dons. Elle fut membre du Conseil d’administration de la Société des Amis du Musée Bonnat-Helleu, dès sa création en novembre 2011 par Guy Saigne, Guy de Lasteyrie du Seillant et Sophie Harent.

La générosité de la Société des Amis du Musée Bonnat-Helleu, très active pendant ces 14 années de fermeture, plus de 500 adhérents, créée en novembre 2011 n’est pas oubliée dans cet ouvrage. La SAMBH n’hésita pas à enchérir, chez Christie’s New York en janvier 2023 pour un Théodore Géricault, jusqu'à 13 860 USD sur une estimation de 7 000 / 10 000 USD. Une feuille de 6,5 sur 26, 3 cm., quelques centimètres carrés de papier caressés avec de bons crayons. Le puzzle était enfin reconstitué. La presse locale en rendit-elle compte ? (4)

Illustration de Le Musée Bonnat-Helleu. Un vrai roman. Laurence de Vellou, Triptyque bayonnais, crayon, encre sépia, aquarelle © photo Le Curieux des arts Gilles Kraemer, Biarritz, la Grande plage, au lointain le phare, 30 avril 2025. Remerciements à Laurence de Vellou.

Illustrant cet ouvrage, Laurence de Vellou, vivant dans le Sud-Ouest, a transcrit l’ambiance de ce chantier de rénovation et d’agrandissement, son extérieur en s’attachant aux éléments décoratifs de sa façade, réinterprété les quatre collectionneurs, par l’aquarelle, l’encre de Chine, le lavis, le crayon, la pointe sèche, différentes techniques qui apportent beaucoup de vivacité. Bonnat à l’écharpe rouge et Personnaz un makila à la main, tenant chacun un tableau chiné à la brocante d’Ahetze. L’escalier de la maison de Petithory à Levallois, les murs couverts de tableaux, sur les marches Papageno assis. Hugo posant pour son portrait par Bonnat. La danse dans le bois sacré de Gabriel Deluc, élève de Bonnat, qu’elle a placée dans le parcours permanent. Le grand escalier, si l’on y fait attention, une femme à la silhouette Helleu le gravit.

Tous mes remerciements à Barthélemy Etchegoyen Glama, directeur du musée Bonnat-Helleu, à Dominique de Saint Pern et Laurence de Vellou pour nos rencontres.

(1) https://www.sudouest.fr/pyrenees-atlantiques/bayonne/bayonne-le-visage-du-nouveau-musee-bonnat-helleu-prevu-pour-2019-devoile-4388477.php

(2) Catalogue raisonné de l’œuvre de Léon Bonnat en deux volumes par Guy Saigne, Léon Bonnat. Le portraitiste de la IIIe république, 2017 & Léon Bonnat. Au-delà des portraits, 2022 https://www.mareetmartin.com/auteur/guy-saigne Je conseille aussi la lecture du livre d'Étienne Rousseau-Plotto, organiste, spécialiste de Léon Deluc, de Maurice Ravel, d'Igor Stravinsky, Doux pays. Le roman de Léon Bonnat https://www.editions-cairn.fr/de/nos-editeurs-partenaires/2026-doux-pays-le-roman-de-leon-bonnat-9782758805755.html

(3) Présentée à l’exposition Sargent and Paris. The Metropolitan Museum of Art, New York: 27 avril – 3 août 2025 sous le numéro 94. Cette huile ne figurera pas à sa seconde présentation au musée d’Orsay, Paris: 22 septembre 2025 – 11 janvier 2026. Elle se devait d’être de retour à Bayonne. De la collection Jacques Petithory, le Portrait de Thomas Alexandre Dumas par Louis Gauffier (en 1977, il lui était attribué), intègre, au MET, l’exposition Superfine : Tailoring Black Style, jusqu’au 26 octobre 2025. Cette exposition du Costume Institute examine culturellement et historiquement le style noir à travers le concept de dandysme avec une présentation de vêtements et d'accessoires, de peintures, de photographies, d'arts décoratifs, du XVIIIe siècle à nos jours.

(4) https://www.lecurieuxdesarts.fr/2023/07/un-dessin-de-theodore-gericault-offert-par-la-societe-des-amis-du-musee-bonnat-helleu-au-musee-bonnat-helleu-le-puzzle-enfin-reconstitue.html

Où trouver cet ouvrage ? Au Bookstore, LA librairie biarrote fréquentée par Karl lorsqu’il possédait la Villa Elhorria, route d’Arbonne. Chez KOEGUI à Bayonne, merveilleux libraire d'éditions originales, juste à côté de la cathédrale. Et à la librairie du musée Bonnat-Helleu, bientôt.

Dominique de Saint Pern, Le Musée Bonnat-Helleu. Un vrai roman. Illustrations Laurence de Vellou. La Société des Amis du Musée Bonnat-Helleu est à l’initiative de cet ouvrage. 104 pages. 70 illustrations. Éditions KOEGUI - Bayonne. Prix 25 €. https://www.editions-koegui.fr/boutique/le-musee-bonnat-helleu.html

https://amis-musee-bonnat-helleu.org/souscription-au-roman-illustre/

L’auteur de cet article est membre du Conseil d’administration de la Société des Amis du Musée Bonnat-Helleu depuis sa création en novembre 2011. https://amis-musee-bonnat-helleu.org/

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