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Portrait de François Ier âgé, Recueil des rois de France, Jean du Tillet, Paris, vers 1545-1547 [?] et 1566. Livre manuscrit enluminé sur parchemin, 355 x 280 mm. BnF, département des Manuscrits. Provenance : préparé pour François Ier [?] ; offert à Charles IX en 1566 ; Gaston d'Orléans (1608-1660) puis entré à la Bibliothèque royale à la mort de ce dernier.Crédit BnF.

La République aime la royauté. Et l'on dirait que l'on rejoue une nouvelle entrevue du Camp du Drap d'or, à Paris, dans un assaut de munificence et de symbolique du pouvoir. D'un côté, les Tudors exposent leurs gigantesques portraits en pied au musée du Luxembourg, de l'autre la Bibliothèque nationale de France explore l'image de François Ier, l'autre roi de la Renaissance, contemporain du Tudor Henri VIII. Avec ce message que constitue la représentation de l'image royale, celle du souverain ou de la souveraine, de chaque côté de La Manche.

2015. Commémoration du cinq centième anniversaire de la bataille de Marignan, date d'une bataille la plus connue des Français (avec celle d'Austerlitz), celle de la victoire d'un roi âgé de vingt-ans contre les troupes suisses qui défendaient le duché de Milan. Mais aussi date de l'accession de François d'Angoulême au trône de France, le 1er janvier 1515. Il régnera trente-deux ans, décédant en 1547, quelques semaines après Henri VIII. 

 

François Ier en déité composite, France, vers 1550 ? Enluminure sur double feuille de parchemin collée sur un panneau de chêne, 234 x 134 mm. BnF, département des Estampes et de la Photographie, Réserve. Provenance : don du comte de Caylus le 15 juin 1765 (note autographe collée à l'arrière du panneau). Portrait allégorique du roi réunissant les attributs de cinq dieux et déesses de l'Antiquité : Mars, Minerve, Diane, Mercure et Amour. crédit BnF.

Comme le souligne Magali Vène, co-commissaire de cette exposition avec Bruno Petey-Girard, « [l'] on est parti du constat que François Ier était, avec Louis XIV et Napoléon 1er, l'un des souverains émergeant dans le souvenir collectif ». L'on se souvient de Léonard de Vinci expirant dans les bras du roi sous le pinceau d'Ingres, de l'homme gravant Souvent femme varie/ Bien fol qui s'y fie sur la vitre d'une des fenêtres de Chambord ou du monarque adoubé par Bayard sur le champ de bataille de Marignan. Mais, au delà de cette imagerie construite au XIXe siècle - « Connaissez-vous François Ier ? » nous interpellent ces deux commissaires dans le catalogue - , que sait-on vraiment de ce roi ne suscitant que des souvenirs positifs ? Comment les images royales s'élaborèrent-elles de son temps ? Réponse en 220 numéros, uniquement des œuvres créées sous son règne et provenant d'institutions françaises, dans les propos thématiques autour du roi en devenir avec le rôle primordial de sa mère Louise de Savoie, du guerrier et chevalier, de l'amateur des arts, du fils aîné de l'Église, de l'exercice du pouvoir et de la diffusion de son portait.

Ouvrages & reliures  //  L'Assedio di Pavia, con la rotta e presa del re christianissimo, Venise, G.A. Vavassore, vers 1525. BnF, Réserve, Rés. p. Yd. 1 // Guillaume Budé, De Transitu Hellenismi ad Christianismum, Paris, R. Estienne, 1535. Exemplaire de dédicace à François Ier avec en médaillon, dans l'encadrement du frontispice, un portrait « christique » du roi. BnF, Réserve, Vélins 1147  //  Atelier d'Etienne Roffet, reliure aux armes de François Ier, vers 1540, sur Biblia Hebraea..., Paris, R. Estienne, 1538. Exemplaire de présentation à François Ier. BnF, Réserve, Vélins 83  //  Ouvrages de la Bibliothèque italienne du roi // © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF, mars 2015
Ouvrages & reliures  //  L'Assedio di Pavia, con la rotta e presa del re christianissimo, Venise, G.A. Vavassore, vers 1525. BnF, Réserve, Rés. p. Yd. 1 // Guillaume Budé, De Transitu Hellenismi ad Christianismum, Paris, R. Estienne, 1535. Exemplaire de dédicace à François Ier avec en médaillon, dans l'encadrement du frontispice, un portrait « christique » du roi. BnF, Réserve, Vélins 1147  //  Atelier d'Etienne Roffet, reliure aux armes de François Ier, vers 1540, sur Biblia Hebraea..., Paris, R. Estienne, 1538. Exemplaire de présentation à François Ier. BnF, Réserve, Vélins 83  //  Ouvrages de la Bibliothèque italienne du roi // © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF, mars 2015
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Ouvrages & reliures  //  L'Assedio di Pavia, con la rotta e presa del re christianissimo, Venise, G.A. Vavassore, vers 1525. BnF, Réserve, Rés. p. Yd. 1 // Guillaume Budé, De Transitu Hellenismi ad Christianismum, Paris, R. Estienne, 1535. Exemplaire de dédicace à François Ier avec en médaillon, dans l'encadrement du frontispice, un portrait « christique » du roi. BnF, Réserve, Vélins 1147  //  Atelier d'Etienne Roffet, reliure aux armes de François Ier, vers 1540, sur Biblia Hebraea..., Paris, R. Estienne, 1538. Exemplaire de présentation à François Ier. BnF, Réserve, Vélins 83  //  Ouvrages de la Bibliothèque italienne du roi // © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF, mars 2015
Ouvrages & reliures  //  L'Assedio di Pavia, con la rotta e presa del re christianissimo, Venise, G.A. Vavassore, vers 1525. BnF, Réserve, Rés. p. Yd. 1 // Guillaume Budé, De Transitu Hellenismi ad Christianismum, Paris, R. Estienne, 1535. Exemplaire de dédicace à François Ier avec en médaillon, dans l'encadrement du frontispice, un portrait « christique » du roi. BnF, Réserve, Vélins 1147  //  Atelier d'Etienne Roffet, reliure aux armes de François Ier, vers 1540, sur Biblia Hebraea..., Paris, R. Estienne, 1538. Exemplaire de présentation à François Ier. BnF, Réserve, Vélins 83  //  Ouvrages de la Bibliothèque italienne du roi // © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF, mars 2015
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Ouvrages & reliures  //  L'Assedio di Pavia, con la rotta e presa del re christianissimo, Venise, G.A. Vavassore, vers 1525. BnF, Réserve, Rés. p. Yd. 1 // Guillaume Budé, De Transitu Hellenismi ad Christianismum, Paris, R. Estienne, 1535. Exemplaire de dédicace à François Ier avec en médaillon, dans l'encadrement du frontispice, un portrait « christique » du roi. BnF, Réserve, Vélins 1147  //  Atelier d'Etienne Roffet, reliure aux armes de François Ier, vers 1540, sur Biblia Hebraea..., Paris, R. Estienne, 1538. Exemplaire de présentation à François Ier. BnF, Réserve, Vélins 83  //  Ouvrages de la Bibliothèque italienne du roi // © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF, mars 2015

Ouvrages & reliures // L'Assedio di Pavia, con la rotta e presa del re christianissimo, Venise, G.A. Vavassore, vers 1525. BnF, Réserve, Rés. p. Yd. 1 // Guillaume Budé, De Transitu Hellenismi ad Christianismum, Paris, R. Estienne, 1535. Exemplaire de dédicace à François Ier avec en médaillon, dans l'encadrement du frontispice, un portrait « christique » du roi. BnF, Réserve, Vélins 1147 // Atelier d'Etienne Roffet, reliure aux armes de François Ier, vers 1540, sur Biblia Hebraea..., Paris, R. Estienne, 1538. Exemplaire de présentation à François Ier. BnF, Réserve, Vélins 83 // Ouvrages de la Bibliothèque italienne du roi // © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF, mars 2015

Ce XVIe siècle, un temps de la construction des images et des premiers discours monarchiques, est celui de l'élaboration d'une logique de propagande, terme à usiter dans son acceptation avec de nombreux guillemets, car ces prémices d'un discours et d'une communication monarchique ne fonctionneront pleinement que sous Louis XIV. 

Le roi contrôle-t-il ou est-ce son conseil ? Par rapport à ses contemporains, le Tudor Henri VIII et le Habsbourg Charles Quint, le discours royal est assez peu habité par la cour elle même. Si ce souverain dirige et contrôle modérément son image, son entourage s'en charge, des lettrés qu'il protège et... pensionne. Apparaît l'idée de ce Prince, protecteur des lettres et des arts transmis par ceux-ci, l'image d'un monarque - que François Ier assumera clairement à la fin de son règne -, grâce aux nouveaux supports que furent la gravure et l'imprimerie. Pour lui, Claude Garamont créera les poinçons d'un nouveau caractère : les grecs du roi qui serviront à imprimer les éditions princeps des manuscrits grecs de la bibliothèque du roi.

« On le sollicite, il acquiesce et la chose devient sienne » précise Bruno Petey-Girard, il se coule dans la silhouette que l'on donne de lui, finissant par l'entretenir de façon efficace, inconsciemment et sciemment. Son entourage lui en abandonne la gloire. Naturellement. ».

 

François Ier chargeant contre les Suisses à Marignan, attribué à Noël Bellemare. Dans Cicéron, Oraisons, traduction par Etienne Le Blanc, vers 1529-1530. BnF, Manuscrits, Français 1738. Crédit BnF

La gloire par les lettres mais aussi sur les champs de bataille, le roi chevalier. Contradictoirement, cette image naît au moment de la captivité du roi à Madrid, après le défaite, en février 1525, de Pavie ! En novembre 1525 paraissent Les Gestes, ensemble la vie du preulx chevalier Bayard de Symphorien Champier, ouvrage dans lequel pour la première fois l'on parle de l'adoubement du roi. « L'évocation de cet adoubement comme chevalier ne nous dit rien, notre perception actuelle ne nous permet pas de comprendre ceci » souligne Bruno Petey-Girard. « La réponse est simple : un chevalier ne fuit jamais au contraire d'un capitaine qui sait opérer une retraite. ». Cet adoubement l'on en parle qu'en 1525, après la défaite et jamais avant. Au moment où il gagna Marignan, personne n'eut l'idée de faire tisser une tapisserie de cette victoire. « Et la mise en avant de sa vaillance chevaleresque après la défaite a été un moyen de camoufler l'échec du capitaine avisé qu'il avait été » précise Jean-Marie Le Gall dans le catalogue. Pour Pavie, qu'offrent les états généraux de Bruxelles à Charles Quint ? La tapisserie de La reddition de François 1er à Pavie, d'après Bernard Van Orley. Lorsqu'il prit Tunis en 1535, furent tissées par Willem de Pannemarker en 1554 à Bruxelles les douze tapisseries de Jan Cornelisz Vermeyen et Titien représente L’Empereur Charles Quint, à cheval, à Mühlberg (1548), bataille remportée contre les princes protestants allemands.

Avec Pavie s'ouvre la deuxième partie du règne de François. Et alors qu'il a perdu, paradoxalement l'image du roi invaincu se construit. Protecteur de la paix alors qu'il est moins présent personnellement sur les champs de bataille. Il est alors représenté en empereur romain victorieux ; une médaille vers 1538-1544 le proclame souverain invaincu ou invictissimus.

 

Vues de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse, mars 2015
Vues de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse, mars 2015
Vues de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse, mars 2015
Vues de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse, mars 2015
Vues de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse, mars 2015
Vues de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse, mars 2015
Vues de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse, mars 2015
Vues de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse, mars 2015
Vues de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse, mars 2015

Vues de l'exposition François Ier. Pouvoir et image, BnF © Le Curieux des arts Gilles Kraemer, présentation presse, mars 2015

Indubitable paradoxe dans cette reprise en mains de son image ne correspondant nullement à la vérité historique ! Et belle bataille de la communication retournant l'infortune du souverain prisonnier.... . Cette communication ne fut-elle pas commencée par une femme, Louise de Savoie, mère du jeune François d'Angoulême, futur François Ier, lorsqu'elle "géra" l'image de son fils promu héritier du trône après ses fiançailles avec Claude de France, la fille de Louis XII et d'Anne de Bretagne ? Dans le Séjour d'honneur d'Octavien de Saint-Gelais, une miniature de 1506 représente ce jeune prince recevant cet ouvrage des mains de l'imprimeur Antoine Vérard, sous le regard de sa mère Louise. L'enluminure du Maître de Philippe de Gueldre Le Compas du Daulphin, à la même date, met en scène la place majeure qu'occupa la jeune veuve dans l'éducation de son fils qu'elle conduit par la main alors qu'il est appuyé sur un dauphin, signe de ses aspirations au trône de France.

Gilles Kraemer

 

Armure de guerre et de joute du roi François Ier. Jörg Seusenhofer (armurier), Degen Pirger, Hans Polhaimer le Vieux et le Jeune, Paul Dax (graveurs). Insbruck, 1539-1540). Fer forgé, repoussé, ciselé, gravé et doré. Hautuer : 2,04 m ; largeur : 0,65 m ; profondeur : 0,45 m ; poids : 20, 6 kg. Musée de l'Armée, Paris. Provenance : collection de Ferdinand II de Tyrol au château d'Ambras, armure rapportée en France sur ordre de Napoléon Ier en 1806, exposée au musée des souverains au Louvre à partir de 1852, puis renvoyée au musée d'Artillerie en 1872. Cette armure est pour la première fois présentée sur un mannequin en pied à l'occasion de cette exposition. Elle permet de situer la stature du monarque entre 1,98 m et 2 m.

François Ier. Pouvoir et image

Bibliothèque nationale de France, site François Mitterrand

24 mars – 21 juin 2015

Internet expositions.bnf.fr/francoisIer/

Autres expositions dans le cadre des célébrations nationales François Ier. 2015Jacques Galiot de Genouillac, l'autre vainqueur de Marignan (23 mai-21 septembre 2015) & Louise de Savoie, mère de François Ier (13 octobre 2015-fin janvier 2016) au musée national de la Renaissance - château d'Écouen  //  Trésors royaux. La bibliothèque de François 1er (4 juillet-18 octobre 2015) au château royal de Blois.

Écouen présente la tenture de David et Bethsabée provenant des collections d'Henri VIII d'Angleterre et le musée du Luxembourg, Les Tudors (18 mars – 19 juillet 2015). 

Commissariat : Bruno Petey-Girard, professeur de littérature française du XVIe siècle à l'Université de Paris- Est-Créteil & Magali Vène, conservateur des bibliothèques, bibliothèque municipale de Toulouse

Catalogue sous la direction de ces deux commissaires, avec la collaboration d'Estelle Boeuf-Belilita & de Lucile Trunel. 272 pages, 115 illustrations. Éditions de la BnF. 39 euros.

Tag(s) : #Expositions Paris
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