Droit de réponse de l’UNESCO suite à l’article : Prêt non consenti par l'UNESCO de l'Homme qui marche à la Fondation Giacometti (II)
Gilles Kraemer.
Vue de la salle de l’Homme qui marche. Fondation Giacometti © photo Le Curieux des arts Gilles Kraemer, juillet 2020, visite presse.
Suite à la publication le 16 août 2020 de Prêt non consenti par l’UNESCO de l’Homme qui marche à la Fondation Giacometti (1), le service de presse de l’UNESCO nous a transmis, le 17 août, ce droit de réponse.
" Nous aurions souhaité que l’œuvre puisse être exposée à la Fondation Giacometti et que le prêt puisse avoir lieu. Nous n’avons pas à commenter la décision des organisateurs de ne pas aller de l’avant s’agissant de ce prêt.
La valeur d’assurance du bien « L’homme qui marche » a fait l’objet d’une évaluation externe comme pour de précédents prêts d’œuvres d’art par l’UNESCO.
Il n’est pas dans notre pouvoir ni dans la compétence de l’UNESCO d’intervenir dans la valeur d’assurance du bien, établie en toute indépendance.
Merci beaucoup
Roni Amelan "
(rédacteur (anglais), secteur des relations extérieures et de l’information du public, service de presse, UNESCO).
Pour mémoire, erratum de la Fondation Giacometti glissé dans le catalogue de l’exposition Alberto Giacometti. L’Homme qui marche : " L’UNESCO, créditée dans ces remerciements, a renoncé à quelques jours de l’exposition au prêt consenti de l’Homme qui marche de leur collection. La Fondation Giacometti, en effet, ne pouvait assumer le coût des conditions de prêt hors des usages et prohibitives exigées. La Fondation déplore de la part d’une institution à laquelle Annette Giacometti avait consenti la fonte exceptionnelle de ce tirage hors commerce. "
exposition Alberto Giacometti. L'Homme qui marche
4 juillet - 29 août 2020
Institut Giacometti - Paris